Avant-hier soir, à Dar Lasram, s'est tenue la conférence de presse de la 26ème édition du festival de la Médina. Une édition qui semble privilégier les artistes tunisiens. Le coup d'envoi aura lieu dans deux espaces différents, avec la Rachidia sous la direction de Zied Gharsa aux Jardins du palais Kheireddine, et le pianiste américain Thomas Rosenkrantz au club Tahar-Haddad.Bouchnaq : un clou du festival
Le festival de la Médina depuis sa création s'est choisi une vocation : des soirées de Tarab et de musique soufie sous le signe de la confirmation des anciens et la découverte de nouveaux talents.
Cette 26ème édition, qui s'étalera jusqu'à la veille de l'Aïd, offre la scène à plus d'un jeune talent. Des spectacles concoctés par des diplômés de l'Institut supérieur de musique qui ont constitué une formation classique ou moderne (jazz) pour trouver dans le festival de la Médina une plate-forme pour se faire connaître par le public mélomane de cette manifestation.
Et comme les sessions précédentes, outre le chant et la musique, le cinéma et le théâtre ont leur place dans la programmation. "La Médina fait son cinéma" est un programme qui a fait, depuis sa création, que les murs de la Médina se transforment en écrans sur lesquels seront projetés des courts-métrages allemands, français et espagnols.
Cette 26ème édition, qui s'étalera jusqu'à la veille de l'Aïd, offre la scène à plus d'un jeune talent. Des spectacles concoctés par des diplômés de l'Institut supérieur de musique qui ont constitué une formation classique ou moderne (jazz) pour trouver dans le festival de la Médina une plate-forme pour se faire connaître par le public mélomane de cette manifestation.
Et comme les sessions précédentes, outre le chant et la musique, le cinéma et le théâtre ont leur place dans la programmation. "La Médina fait son cinéma" est un programme qui a fait, depuis sa création, que les murs de la Médina se transforment en écrans sur lesquels seront projetés des courts-métrages allemands, français et espagnols.
Le théâtre sera aussi de la partie avec trois productions d'El Teatro: "Poids plume", "Café amer" et "Et maintenant".
La programmation alterne des troupes de chants traditionnels et classiques de Syrie avec les Qudoud Halabia, et aux chants andalous du Maghreb, auxquels on a consacré plus d'une soirée.
La programmation alterne des troupes de chants traditionnels et classiques de Syrie avec les Qudoud Halabia, et aux chants andalous du Maghreb, auxquels on a consacré plus d'une soirée.
Les hommages sont aussi nombreux, avec Sombatiet, hommage à Riadh Sombati, Ismahan avec Dorsaf Hemdani, Saliha avec Zohra Lajnef, Léo Ferré avec Martina Conti, Mahmoud Darwich avec Ajrass ainsi qu'une soirée consacrée à Youssef Chahine.
Les spectacles occidentaux sont proposés comme d'habitude par les services culturels des ambassades avec un spectacle de flamenco, de fado portugais, des rythmes brésiliens...
Certaines créations sont proposées par de jeunes musiciens dont Tajaliet de Khaled Ben Yahia, Sehr El Awtar de Samih Mahjoubi, Yasmin Azaïez en solo avec son violon et Résonances, un spectacle inédit sur les percussions traditionnelles en Tunisie.
Encore une fois, "Hanine y Son Cuban" reviennent sur la scène du festival de la Médina présenter le même tour de chant auquel on a eu droit, à plusieurs reprises.
Avis aux amateurs!
Le programme de la 26e édition du festival de la Médina laisse supposer que le festival souffre d'un problème financier, d'où le recours à des artistes locaux peu connus. Près de la moitié des soirées semblent manquer de recherche, puisqu'on a recours à cette éternelle recette de ressasser le répertoire classique sous forme d'hommage.
Pour cette session, la musique a la part du lion, ce qui n'est pas nouveau, mais rares sont les créations.
Les spectacles occidentaux sont proposés comme d'habitude par les services culturels des ambassades avec un spectacle de flamenco, de fado portugais, des rythmes brésiliens...
Certaines créations sont proposées par de jeunes musiciens dont Tajaliet de Khaled Ben Yahia, Sehr El Awtar de Samih Mahjoubi, Yasmin Azaïez en solo avec son violon et Résonances, un spectacle inédit sur les percussions traditionnelles en Tunisie.
Encore une fois, "Hanine y Son Cuban" reviennent sur la scène du festival de la Médina présenter le même tour de chant auquel on a eu droit, à plusieurs reprises.
Avis aux amateurs!
Le programme de la 26e édition du festival de la Médina laisse supposer que le festival souffre d'un problème financier, d'où le recours à des artistes locaux peu connus. Près de la moitié des soirées semblent manquer de recherche, puisqu'on a recours à cette éternelle recette de ressasser le répertoire classique sous forme d'hommage.
Pour cette session, la musique a la part du lion, ce qui n'est pas nouveau, mais rares sont les créations.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire