dimanche 28 juin 2009

Michael Jackson


Michael Joseph Jackson né le 29 août 1958 à Gary (Indiana) et mort le 25 juin 2009 à Los Angeles (Californie)2, est un auteur-compositeur-interprète,danseur-chorégraphe et homme d'affaires américain3,4. Septième d'une famille de neuf enfants, il a commencé sa carrière professionnelle à l'âge de onze ans au sein des Jackson Five puis a débuté sa carrière solo en 1971 tout en restant membre du groupe. Surnommé par la suite « The King of Pop »5,6 (en français « Le Roi de la pop »), il a sorti cinq albums studio figurant parmi les plus vendus au monde : Off the Wall (1979), Thriller (1982), Bad (1987),Dangerous (1991) et HIStory (1995).

Au début des années 1980, Michael Jackson est devenu une figure majeure de la musique pop et est l'une des plus célèbres du xxe siècle. Les courts-métrages comme Beat It, Billie Jean ou Thriller ont donné un nouvel élan aux vidéo-clips musicaux. Au cours de ses nombreux concerts et apparitions publiques en direct, il a largement popularisé de nombreux pas de danse, dont le Moonwalk qui est devenu sa signature. Son style vocal et musical a influencé de nombreux autres artistes de Hip-hop, Pop et R'n'B.

Au cours de sa carrière, Michael Jackson a battu de nombreux records de l'industrie du disque. Le nombre total de ses ventes est estimé à 750 millions7 ce qui le classe plus gros vendeur d'albums de tous les temps (pour un artiste solo)8. Thriller, dont les estimations des ventes varient entre 65 et 108 millions, est quant à lui l'album le plus vendu de l'histoire de la musique9,10. Il a remporté plus de prix que n'importe quel autre artiste11 et été nommé Artiste du Millénaire aux World Music Awards en 200012.

Michael Jackson a récolté et donné plus de 400 millions de dollars pour des œuvres caritatives notamment grâce à sa tournée Dangerous World Tourmais son image publique a été considérablement ternie à cause de certains aspects de sa vie privée, notamment son goût pour la chirurgie esthétique, son mode de vie excentrique et deux accusations d'abus sur mineurs pour lesquelles il a été respectivement relaxé et acquitté. Ses deux mariages et ses trois enfants ont également été à l'origine de polémiques, mais malgré ces controverses, Michael Jackson demeure une des figures majeures de la musique de ces quarante dernières années.

Le 25 juin 2009, peu avant le début de This Is It, une série de 50 concerts à Londres censée marquer son retour sur scène, Michael Jackson meurt auRonald Reagan UCLA Medical Center (Los Angeles) des suites d'un arrêt cardiaque13. Une autopsie est pratiquée le 26 juin afin de déterminer les causes exactes de sa mort14.


Source:Wikipédia

Des tunisiens rendent un dernier hommage à Jacko!


Des jeunes et moins jeunes tunisiens veulent rendre un dernier hommage à Michael Jackson en organisant un flashmob en hommage au roi de la pop..

Ils planifient un groupement à l'esplanade de Menzah 6 ce dimanche à 18h pour lui rendre un dernier hommage.

La seule chose demandée aux participants est de faire un moonwalk.
Une page de facebook, est dédiée à cet evenement en annonçant : « Vous savez danser ou pas, on s'en fous ; Dès que la musique commencera on se lancera ; ) »


Source:Babnet.net

DIVONA/ORANGE France Télécom remporte la 3ème licence téléphonique


C’est désormais officiel. C’est le groupement DIVONA/ORANGE France Telecom qui est retenu en tant que soumissionnaire de la meilleure offre technique dans le cadre du processus d’attribution d’une licence pour un nouvel opérateur des télécommunications, indique un communiqué du ministère des Technologies de la Communication.

‘’En application des dispositions du décret N°2009-283 du 2 février 2009 fixant les conditions et les procédures d’attribution d’une licence pour l’installation et l’exploitation d’un réseau public de télécommunications pour la fourniture des services de télécommunications fixes et des services de télécommunications mobiles de 2ème et 3ème génération, le ministère des Technologies de la Communication annonce ce qui suit :

-La commission instituée par le décret sus-dessus mentionné a achevé l’évaluation des offres reçues dans le cadre de l’Appel d’Offres International pour l’attribution d’une licence à un nouvel opérateur des télécommunications fixes et mobiles 2G/3G.

-Ce processus a permis de retenir le Groupement DIVONA/ORANGE - France Telecom, en tant que soumissionnaire ayant présenté la meilleure offre technique. Cette attribution est provisoire dans l’attente du parachèvement des conditions figurant dans les procédures du Règlement de l’Appel d’Offres International.

L’entrée en service d’un nouvel opérateur de télécommunications a pour objectif de contribuer à la dynamisation du paysage du secteur des télécommunications (fixe, internet haut débit et mobile), à la promotion de l’investissement et de l’emploi ainsi qu’au soutien du climat des affaires en Tunisie’’.


Source:wmc

Michael Jackson, Le Roi de la POP nous a quitté à 50 ans!


Michael Jackson est mort jeudi à l'âge de 50 ans dans un hôpital de Los Angeles où il avait été transporté en urgence pour un arrêt cardiaque, nouvelle qui a provoqué une onde de choc à l'échelle de la célébrité planétaire du "roi de la pop".

"M. Jackson a été transporté à l'hôpital (...) il était inconscient lorsqu'il a été admis et son décès a été constaté à 14H26 (21H26 GMT) cet après-midi", a déclaré à CNN un porte-parole de l'institut médico-légal du comté de Los Angeles, le lieutenant Fred Corral.

Selon le Los Angeles Times et le site internet spécialisé dans les célébrités TMZ.com, qui a le premier donné la nouvelle, Jackson a été victime d'un arrêt cardiaque à son domicile de Holmby Hills, un quartier opulent du nord-ouest de Los Angeles où il louait un manoir depuis janvier. Il a été transporté en ambulance à l'hôpital Ronald-Reagan de l'UCLA (Université de Californie à Los Angeles), à quelques kilomètres de là.

Le lieutenant Corral s'est refusé à toute précision sur les causes du décès, expliquant qu'une autopsie serait pratiquée, sans doute dès vendredi, pour les déterminer.

Peu avant 19H00, le corps enveloppé dans un linceul blanc a été transporté à la morgue de Los Angeles, transfert filmé en direct par les télévisions locales depuis des hélicoptères.

Un des frères aînés de Michael Jackson, Jermaine, est apparu brièvement devant la presse à l'hôpital. Lisant un communiqué préparé, il a affirmé que les médecins avaient tenté de ranimer son frère pendant une heure, sans succès. Le visage ravagé par le chagrin, il a lui aussi évoqué un "arrêt cardiaque".

De son producteur historique Quincy Jones, "totalement bouleversé", à Madonna, qui "ne peu(t) plus (s)'arrêter de pleurer", le monde du spectacle a rendu un hommage unanime à "l'une des figures les plus influentes et les plus emblématiques de l'industrie de la musique", selon les mots du gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger.

A l'extérieur de l'hôpital, des centaines de journalistes et d'admirateurs se sont rassemblés tout l'après-midi. Même scène à l'autre bout du pays, devant la légendaire salle de concerts Apollo de Harlem à New York, où certains badauds dansaient au rythme des succès de Jackson.

Le décès du "roi de la pop" intervient alors que le chanteur espérait effectuer son grand retour sur scène cet été à Londres avec une série de concerts. Depuis son acquittement en Californie en 2005 au terme d'un retentissant procès pour attouchements sexuels sur un adolescent, Jackson avait vécu quasiment retiré du monde, notamment à Bahreïn et Las Vegas.

Fin mai, les organisateurs avaient annoncé que le lancement de la série de concerts avait été repoussé de quelques jours en juillet, assurant toutefois que cela n'avait "rien à voir" avec la santé de la star, qui a fait dans le passé l'objet de spéculations.

Doté d'une voix haut perchée reconnaissable entre toutes, danseur hors du commun, l'artiste était déjà connu alors qu'il n'avait pas dix ans, grâce au groupe familial "Jackson Five", avant de passer progressivement au statut de star planétaire avec des albums comme "Off The Wall" et surtout "Thriller" en 1982.

Mais dès les années 1980, l'énigmatique Jackson avait montré des signes physiques et comportementaux étranges et, au-delà du phénomène musical, était devenu un phénomène tout court.

En 1993, son image de doux excentrique réfugié dans un ranch californien baptisé "Neverland" en hommage à Peter Pan, avait volé en éclats avec une première plainte, celle d'un adolescent de 13 ans l'accusant d'attouchements. L'affaire s'était réglée à l'amiable contre 23,3 millions de dollars.

Mais depuis, entre train de vie somptuaire et inactivité artistique, la fortune de Jackson avait fondu, contraignant en 2006 le chanteur à restructurer une dette de quelque 170 millions de dollars, selon la presse américaine.

Source: msn.com

dimanche 21 juin 2009

TUNISIENNES, RETOUR DE VOILES


Cinquante ans après qu'Habib Bourguiba, le père de la Tunisie indépendante, eut accordé aux femmes l'égalité avec les hommes, les Tunisiennes sont confrontées à un sérieux défi : le repli identitaire qui touche, à l'heure actuelle, l'ensemble du monde arabo-musulman. Par Florence Beaugé

Dans sa propre famille - aisée -, cette universitaire remarque toute une série d'"indices nouveaux et inquiétants". Un jour, sa nièce refuse d'aller dans une maison où il y a un chien, "parce que c'est impur et que ça empêche de faire les prières". Le jour suivant, une de ses amies décline son invitation à dîner, parce qu'elle sait qu'on va proposer de l'alcool. Dans les mariages, les femmes arrivent de plus en plus souvent revêtues du hidjab. A la prière du vendredi, les mosquées débordent. Et les séances de prières, où l'on se retrouve le jeudi ou le vendredi, à dix ou vingt, au domicile d'un membre de la famille, sont de plus en plus fréquentes.

Cinquante ans après qu'Habib Bourguiba, le père de la Tunisie indépendante, eut accordé aux femmes l'égalité avec les hommes, les Tunisiennes sont confrontées à un sérieux défi : le repli identitaire qui touche, à l'heure actuelle, l'ensemble du monde arabo-musulman. Le port du voile, en augmentation - environ une femme sur quatre à Tunis, trois sur quatre dans les localités reculées - n'en est qu'un symptôme. Soucieuses de donner de leur pays une image lisse, les autorités tunisiennes n'avouent pas facilement leur inquiétude à ce sujet. Elles se contentent de répéter que le président Ben Ali "ne reviendra jamais sur les acquis de la femme et le code du statut personnel", quelles que soient les pressions.

Promulgué en août 1956, quelques mois après l'indépendance du pays, le code du statut personnel, recueil de textes juridiques, était révolutionnaire pour l'époque. Du jour au lendemain, la polygamie se retrouve abolie, la répudiation interdite et le divorce judiciaire institué. Un âge minimum pour le mariage est fixé, le consentement des deux époux exigé. La femme majeure n'a plus besoin de tuteur pour se marier. Elle obtient le droit de vote.

Tout cela s'accompagne d'un effort considérable en matière d'éducation pour tous, ainsi que d'une autre révolution, celle du planning familial. Sur certains points, la Tunisie est en avance sur la France. L'avortement est autorisé dès 1963 pour les femmes ayant plus de cinq enfants et dépénalisé pour toutes les Tunisiennes à partir de 1973. Le taux de natalité va ainsi passer de sept enfants par femme à un peu plus de deux en 2006.

Aujourd'hui, la situation des Tunisiennes reste sans équivalent dans le monde arabe. Le président Ben Ali a non seulement entériné la politique de son prédécesseur, mais l'a poursuivie depuis son arrivée au pouvoir, en 1987. Un fait que l'opposition et les mouvements de défense des libertés répugnent à admettre tant les femmes qui tiennent tête au régime sont réprimées avec violence. Reste que les avancées sont indiscutables. Depuis 1993, une Tunisienne ne doit plus obéissance à son époux. Les deux conjoints sont tenus à un "respect mutuel". Le droit de la mère à transmettre sa nationalité est désormais inscrit dans la loi. Et, depuis 1998, il existe un fonds garantissant le versement des pensions alimentaires aux femmes divorcées et à leurs enfants.

S'il reste une inégalité flagrante entre hommes et femmes en Tunisie, c'est celle de l'héritage. Le problème est épineux car le Coran mentionne qu'"il revient à l'homme la part de deux femmes". Depuis cinq ans, l'Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD), proche de l'opposition, fait de cette question son cheval de bataille. Sans succès. "Ce n'est pas une revendication nationale. La donation permet déjà au père de contourner le problème sans heurter les esprits", fait valoir Saloua Ayachi Labben, ministre des affaires de la femme et de la famille. "Certaines chaînes de télévision du Golfe nous critiquent déjà beaucoup à cause de notre code du statut personnel. Si on ajoute la question de l'héritage, on risque de tout perdre !", ajoute, de son côté, Aziza Hatira, présidente de l'Union nationale de la femme tunisienne (UNFT), proche du pouvoir.

A Kairouan, quatrième ville sainte de l'islam, située à 200 kilomètres au sud de la capitale, il ne viendrait pas à l'idée aux femmes de s'attabler aux terrasses des cafés comme elles peuvent le faire à Tunis. Dans la classe de Zakhia, enseignante d'une trentaine d'années, divorcée, plus de la moitié des filles portent le voile. Même proportion chez les enseignantes. La professeur de gymnastique ne quitte pas son foulard pour donner ses cours. "C'est l'interdit qui fait le succès !", assure Zakhia.

Dans cette ville conservatrice et pauvre, les traditions continuent de peser lourdement sur les femmes. La virginité, par exemple, reste "d'une importance extrême" aux yeux de la quasi-totalité des hommes, tandis qu'"eux ne se gênent pas, sous prétexte qu'ils doivent avoir de l'expérience !", s'indigne Meriem, étudiante.

Beaucoup plus que la question des libertés ou de la parité, ce sont les difficultés de la vie quotidienne que dénoncent les femmes. Chômage, bas salaires, coût de la vie, incertitude devant l'avenir... Les griefs sont nombreux et cette tension retentit sur les couples. "Il n'y a plus d'hommes en Tunisie !", entend-on dire de tous côtés, comme un leitmotiv. Rares sont les femmes qui parviennent à s'expliquer sur ce point, mais elles n'en démordent pas : "Le dernier homme", c'était leur père. Tous les autres n'"assument pas leurs responsabilités", en particulier familiales.

A Kairouan, les distractions ne sont pas nombreuses. La télévision en est une, et à bas prix. Aussi les familles suivent-elles avec passion les informations présentées par Al-Jazira et Al-Manar, la chaîne du Hezbollah. C'est pour elles la seule façon de partager les souffrances du monde musulman "injustement agressé par l'Occident". Imen, jolie jeune fille voilée de noir, raconte qu'elle ne cesse de pleurer et de prier en suivant les événements de Palestine, d'Irak ou du Liban. Son héros ? Nasrallah ! Elle souhaite passionnément que le chef religieux chiite libanais "continue de tenir tête à Israël".

Un autre personnage a les faveurs d'Imen et de ses amies. Il se nomme Amr Khaled. C'est le prédicateur vedette de la chaîne religieuse moyen-orientale Iqra. Il est charismatique et beau garçon. Les femmes s'échangent ses cassettes ou se les offrent en cadeau pour les anniversaires. "Il nous parle de religion. Il nous apprend à respecter l'autre, à obéir à nos parents. Je l'aime, je l'aime !", s'enflamme soudain Imen, les yeux brillants.

Beaucoup des clientes d'Habiba ont un objectif en franchissant le seuil de sa boutique : se conformer aux préceptes d'Amr Khaled. "Nous voulons devenir de bonnes musulmanes", lui confient-elles. Depuis quatre ans, Habiba vend des vêtements islamiques. Son chiffre d'affaires est en augmentation constante.

Outre le traditionnel caftan, la jeune femme propose toutes sortes de tenues, des voiles coquets et colorés, presque sexy, des cagoules austères et des djilbebs (la plus stricte des tenues religieuses). Elle remarque que ses clientes sont assez versatiles. "Certaines décident de porter le djilbeb, et puis, l'année suivante, elles l'abandonnent. Les habitudes vestimentaires ne sont pas encore vraiment ancrées", estime-t-elle.

Le grand succès de l'été ? Le "maillot de bain islamique". Très en vogue sur les plages tunisiennes, il se décline en plusieurs versions : du short cycliste au jupon long en passant par la petite jupe noire à ajuster sur le maillot une pièce.

A l'inverse de plusieurs de ses collègues de Tunis, Habiba ne se plaint pas du harcèlement de la police. A intervalles réguliers, les forces de l'ordre effectuent en effet des raids dans les boutiques de vêtements islamiques. "Arrêtez de vendre toutes ces frusques !", ordonnent les policiers aux commerçants avant d'interpeller quelques femmes en hidjab, au hasard dans la rue, pour les tancer en ces termes : "Retire ce voile ! Et que je ne t'y reprenne pas : la prochaine fois, au poste !" Pendant les jours qui suivent, les femmes s'interrogent en tremblant : "A qui devons-nous obéir : aux policiers ou à Dieu ?" Et puis le pouvoir relâche sa pression. Le voile est à nouveau toléré, jusqu'au "prochain accès de rage" des autorités, disent les étudiantes, en général lors de la rentrée universitaire et à la fin de l'année, au moment des examens.

Dans sa bataille contre ce que les uns qualifient de montée de l'islamisme, les autres de retour aux traditions, le pouvoir tunisien n'a pas de stratégie. Il poursuit sa démarche volontariste en faveur des femmes tout en optant pour des méthodes coercitives, très improductives. "Il est inquiet, mais il refuse d'admettre qu'il ne peut mener seul ce combat et qu'il lui faut s'appuyer sur des alliés tels que la gauche laïque, confie une femme médecin, membre de la haute administration. Il faudrait ouvrir de vrais débats sur les questions de société qui nous préoccupent. Dialoguer. C'est une urgence. Il en est encore temps. Mais quand donc le pouvoir le comprendra-t-il ?"


Source : Article License: Copyright - Article License Holder: Le Monde

jeudi 11 juin 2009

DU VOILE ET DE LA LIBERTÉ


Le ministre tunisien des Affaires religieuses contre le voile "importé"
jeudi 29 décembre 2005 Associated Press

TUNIS

Le ministre tunisien des Affaires religieuses Aboubaker Akhzouri s’est déclaré hostile au port du hijab, le voile islamique venu des pays du Machrek et du Golfe, qu’il ne juge pas conforme à la tradition vestimentaire du pays.

"Nous refusons le hijab sectaire et l’habit de la horka blanche (la tunique que portent les habitants des pays du Golfe) et la barbe anormale qui dénote une appartenance bien déterminée", a déclaré le responsable tunisien du culte au journal "Assabah" de Tunis, en allusion aux longues barbes des intégristes.

M. Akhzouri considère le hijab comme un mode vestimentaire "intrus" et "étrange". "Il est déplorable que nous ne respections pas nos spécificités", a-t-il martelé, plaidant plutôt pour le port de la "jebbah", la tunique traditionnelle tunisienne.

Ses propos font écho à une prise de position similaire prise récemment par le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali.

Le ministre des Affaires religieuses s’est inscrit en faux contre "l’accroissement relatif" du nombre de personnes qui portent le voile en Tunisie. "Au contraire, le phénomène est en régression", a-t-il avancé en se basant sur "des données objectives".

Selon lui, "l’esprit éclairé" diffusé par les structures en charge des affaires du culte "est à même d’estomper progressivement ce phénomène".

Il s’est targué, à cet égard, que la Tunisie ait pu réaliser "la difficile adéquation entre authenticité et modernité et entre patrimoine et interaction avec l’autre".

En Tunisie, une circulaire datant de 1981 interdit le port du voile dans les administrations et les établissements scolaires. Elle n’est cependant pas appliquée avec rigueur, les autorités faisant preuve tantôt de tolérance, tantôt de fermeté.

Plusieurs organisations non gouvernementales estiment quant à elles que cette interdiction porte atteinte aux libertés.

SOURCE: http://www.bladi.net

Point de vue personnelle :

Dieu sait que je n'aime pas le voile, comme je le trouve rétrograde et discriminatoire. Je suis bien un féministe. Pourtant, je n'obligerai jamais personne à ne pas le porter. Je ne jugerai pas. Je ne militerai pas pour la dictature des cheveux à l'air. Parce qu'il tient de l'absurde de prétendre défendre la Liberté sans admettre toutes les libertés. Celle de culte aussi.
NON pour une voile descriminatoire en TUNISIE !

Merci !!!Danke!!!Thank you !!!Grazie!!!

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